Qui sommes-nous ?

Baudoin, Héloïse, Blanche et leurs parents Christelle et Antoine partent à la découverte des beautés humaines et naturelles. Un fabuleux voyage de 6 mois autour du monde !
L'objectif d'un tel voyage: un désir de se retrouver en famille, de partir à la découverte du monde au travers de lieux touristiques et à la rencontre des personnes vivant dans les pays au sein de diverses communautés. Voir la beauté humaine au delà du handicap, de la pauvreté, trouver les sourires... autour du monde !

mercredi 11 mars 2009

Comment nos enfants vivent-ils le voyage ?


Héloïse et les animaux du Brésil. Elle fut surprise par les vaches : « elles ont une bosse sur la nuque » et par les chevaux  « qui sont tout seuls (en liberté) sur le trottoir ou sur la route ».
« On ne voit pas souvent en France le fourmilier (vu au zoo) et le tamanoir (vu en sculpture).
Il y a plein de moustiques...même qu'une fois on a dormi sous une moustiquaire et il faut très souvent mettre du produit anti-moustique. Il y a aussi plein de fourmis, de toutes petites, des moyennes qui piquent et de très grosses. On a déjà vu une fourmi qui a mordu le doigt d'un enfant ! Ces fourmis ont une grosse tête et de grandes pinces. A la campagne, les crapauds sont aussi gros et ils mangent les fourmis volantes attirées par la lumière, quand on mange dehors le soir. Baudoin a même eu peur !
Dans un parc, on a vu un anaconda. C'est un gros serpent qui sait nager très, très vite (plus vite que moi avec mes brassards!) et il est très très long (jusqu'à 11 mètres, et on a mesuré avec nos pas, wouah!) »

Elle ajoute : « ici il fait très chaud...même l'hiver, il fait chaud, il neige même pas !
J'aime bien l'avion quand il va très vite au décollage et il y a des petites tablettes pour manger. Ce que je n'aime pas c'est quand les personnes ne parlent que portugais !! » (on reconnaît notre pipelette... et je suis d'accord avec elle!)


Baudoin :
Je voyage bien. J'aime bien le toboggan (le deuxième vu depuis le départ).
Dans l'avion, j'aime bien manger : on nous donne un jus d'orange ou un coca ! J'aime pas quand ça bouge.
Je dors souvent comme ça (sur les genoux) pour la sieste dans l'avion, ou dans le bus. Dans les bus, je passe soit en dessous, soit au dessus (du tourniquet, c'est gratuit pour les enfants).
Je sais un peu parler portugais: « bom dia », « um, dois, três , quatro, cinquo, seis, sete, oito, nove deis» et « boa noite » (oui oui, c'est vrai! A tel point qu'il connaît mieux les nombres en portugais qu'en français!!)



Blanche:
« C'est bien le voyage. C'est un peu dur de parler et de ne pas tout comprendre.
On se déplace de plein de manières : si on est en voiture, maman est souvent derrière avec nous, les enfants et il n'y a pas de siège auto, mais on s'attache quand même.
En bus, en ville, on passe soit par dessus le tourniquet, soit en dessous, car on ne paie pas, ici. Quand il y a beaucoup de monde, les personnes nous laissent parfois la place ou bien elles nous prennent sur les genoux et on est bien ! Baudoin fait souvent la sieste, quand on s'est promené...
On prend aussi l'avion pour les grandes distances. J'aime bien être à la fenêtre, c'est ce que je préfère quand on décolle ou que l'on atterrit car on voit tout le paysage et c'est très beau. Quand l'avion est très haut, les nuages forment comme des moutons dans le ciel.
Dans la salle d'attente de l'aéroport, soit on travaille, soit on regarde un « Astérix » sur l'ordinateur et je préfère ça ! »

3 commentaires:

Anonyme a dit…

test

Anonyme a dit…

Quand le rêve devient réalité, quels sont les points les plus difficiles à gérer...éloignement famille je supose, gestion financière, scolarité des enfants...merci pour votre réponse.Je suis interressé car je pars avec mon amis 6 mois en Australie. PS j'au eu votre profil sur Viadeo.* bonne continuation.
Christophe: christopherodes@yahoo.fr

Antoine a dit…

Bonjour,

C'est sympa d'avoir un contact comme le tien puisque tu es le premier "inconnu" qui laisse un message sur notre blog.
Pour répondre à ta question, ce qui est le plus difficile pour nous, c'est de trouver le bon rythme avec les enfants, leur fatigue et surtout le travail scolaire qui prend du temps et est parfois pesant dans la relation avec nos enfants. Les changements de lieux fréquents (en moyenne tous les 3 ou 4 jours depuis 2 mois), l'envie de visiter et de voir beaucoup de personnes nous forcent à nous adapter souvent. Ce que nous découvrons de difficile et que nous n'avions pas envisagé, c'est finalement le peu de temps de couple que nous réussissons à préserver : dans la journée, nous sommes toujours avec les enfants et le soir, souvent avec les personnes qui nous accueillent, ce qui laisse moins de temps à 2 qu'on ne pouvait penser en passant 6 mois ensemble.
Pour ce qui est de l'éloignement de la famille, nous ne le sentons pas trop, skype étant un bon ami pour rester en contact. Quant à l'aspect financier, comme au départ, nous avions prévu de partir un an et que nous sommes quasiment toujours hébergé gracieusement (ce qui n'était pas entièrement prévu dans le budget), cela nous permet d'être plus flexible, même si naturellement, nous fonctionnons à l'économie.

Bon voyage à vous